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vendredi 18 novembre 2016

COP 22 : La contribution de la femme à l'objecif 2°C est au coeur des débats



au cours d'un atelier avec les experts en genre

La série de conférences continue ici dans la zone verte au quartier de Bab Ighli dans la ville de Marrakech. les discussions entre les pays et les associations se poursuivent en vue d’atterrir à un compromis commun et au profit de tous également pour une mise en œuvre de l'accord de Paris. c'est à dire limiter l'émission de gaz à effet de serre en deçà de 2° C.  Nombre des participants à ces assises font preuves, jusque-là de ce qu'ils peuvent apporter pour sauver notre planète. plus ceux d'Afrique, qui sont les premiers victimes du réchauffement climatique. Durant ce forum climatique, plusieurs enjeux sont au centre des pourparlers notamment : la construction des villes écologiques, l'adaptation et la résilience des pays du sud, l'eau, l’énergie renouvelable, etc. sans oublié le genre.

vendredi 11 novembre 2016

COP 22 : ADEAC s'engage à la concrétisation de l'accord de Paris



l'arrivée à l’aéroport de Marrakech pour la COP 22
Après Paris, les assises de Marrakech pour la COP 22 sont pour la plupart des observateurs : « De l’engagement à l’action ». C'est-à-dire passer des discours vers la mise en application ou la mise en œuvre des résolutions et certains engagements pris par les parties prenantes lors de la COP 21 de Paris

Devant un problème aussi urgent que celui du Réchauffement climatique, il était impérativement temps d’agir en toute rapidité et avec toute sagesse pour trouver une solution spéciale en vue d’épargner la terre à ce fléau. 

La Rencontre de Marrakech semble être plus déterminant en même temps un défi, dans la mesure où les pays signataires de l’accord de Paris sur le réchauffement climatique feront un choix décisif pour l’avenir de la terre.

En ce qui concerne l’Afrique, 4 priorités seront en jeu, entre autres : l’adaptation, l’atténuation, le financement et le renforcement du processus de négociation.

lundi 10 octobre 2016

Formation MOLONGI : Les femmes de l’AFDC font la Restitution


De gauche à droite, Mme Immaculée et Mme Solange
Après une formation en Nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) dénommée MOLONGI spécialement axée sur l’utilisation de Blog et la participation politique des femmes au sein de leurs partis., dispensée par les délégués de NDI (National Democratic Institut), l’Alliance des Forces Démocratiques du Congo, AFDC a organisé à cet occasion une séance de restitution le 15 juillet 2016 dans la salle de Mafraland à Gombe en présence de plusieurs invités entre autres : les camarades du parti, les sénateurs et députés nationaux, présidents fédéraux, coordonnateurs des structures spécialisées, Secrétaires nationaux et autres.

samedi 8 octobre 2016

La JIFA en RDC, remise des prix aux femmes et hommes exceptionnels






La Journée internationale des femmes africaines (JIFA) a été célébrée et marquée d’une manière très particulière le 11 août 2016 à l’Hôtel Beatrice. Pour sa 1ère édition à Kinshasa, la synergie JIFA a donné une touche spéciale à cette fête des femmes africaines en procédant à la remise des prix aux femmes qui se sont distinguées dans leur domaine respectif et aux différents hommes genrés, qui se sont associés aux femmes dans le combat d’un monde 50-50.

Devant un parterre d'invités, la représentante de la Synergie JIFA, structure regroupant le ministère de la femme, famille et enfant, Bureau de consultation en Genre, etc. Mme Anny Matundu, a voulue avant tout donner l’arrière fond historique de la JIFA dès sa création. Il est à retenir que la JIFA fut l’initiative d’une députée malienne Awa KEITA, née en 1912, dont la prise de  conscience pour la cause de la femme était intervenue durant les élections législatives en 1952 au Mali. C’est à l’aube de l’indépendance des Etats Africains, que l’ONU promulguera  la journée du 31 juillet comme une journée internationale de la femme africaine et l’OUA le 31 juillet 1963.

Cette journée est une occasion de promouvoir les femmes et les pousser à se prendre charge.

Pour agrémenter la cérémonie et profiter de l’occasion pour lancer un cri d’alarmes aux autorités, un groupe des femmes  maraichères conduites par Mme Faida, ont joué une saynète relatant les conditions de travail et demandant l’appui des autorités pour soutenir ces femmes maraichères, enfin de quitter la mode artisanale pour la mode industrielle. Cette mutation faciliterait la production des aliments et des légumes en grandes quantité. Ainsi, elles ont demandé principalement à la ministre de femme, famille et enfant de leur apporter des machines appropriées de l’agro-pastoral.

Prenant la parole à son tour Mme Awa Ndiange SEICK, représentante de l’ONU-Femme RDC, s’est sentie très ému de cette rencontre, une première en RDC, depuis que cette journée a été promulguée par l’ONU. Entonnant le 1er couplet de l’hymne de la JIFA, Mme Awa a mise en exergue l’idée exprimée par Camara Laye, celle d’une femme à grand cœur, femme ménage et de famille, femme selon l’oratrice éduque toute une nation.
«  La femme du Congo exerce une influence profonde et constante sur la société et elle représente la traduction dans la transmission des Valeurs. Et rien de durable ne pourra être conduit si la femme n’y est pas associé.»

 
Elle a en outre rassuré, l’apport de l’ONU-Femme dans le combat du Genre en RDC
Ministre de la Famille, femme et enfant, a tenue premièrement à remercier l’ONU-Femme et tous les hommes genrés et toutes les ONG de développement qui ont permis à ce que cette activité ait lieu. Pour elle, la femme constitue une force incontournable pour des raisons démographiques et de développement.
« En clair, il s’agit des femmes qui ont des racines et des ailes qui les rendent capables de soutenir le développement des familles et des communautés de la RDC. Des femmes à même d’embarquer les hommes dans une dynamique de paix, de changement social, de rayonnement de la RDC et même sur l’échiquier international. Bref, des femmes porteuses de la destinée de la RDC au même titre que les hommes. »
La réalisation de cette 1ère expérience qui pousser à partir avec succès d’organiser les prochaines cérémonies de célébration de la journée de la femme africaine dans notre pays. 
He For She, une meilleure approche pour la lutte d’un monde -50-50

He for She en français « Lui pour Elle » est une approche dans le genre, qui soutient la contribution inlassable et l’association des hommes au combat de la parité. Cette approche préconise l’apport de l’homme dans toutes les activités féminines allant dans le but de l’autonomisation, de la parité et de l’accès de la femme dans les instances de prise de décision.
Pour faire un pont entre la cérémonie et la remise des prix, une vidéo intégrant les points de vue des lauréats sur la JIFA et le rôle d’une femme dans la société.

Le moment décisif et le plus attendu
de la soirée était la remise des prix aux lauréats notamment les hommes genrés, les femmes expertes en genres, les femmes exceptionnelles,  etc. 

Plus de 45 personnalités étaient honorées pour leur contribution à la promotion de l’égalité de sexes et à l’autonomisation de la femme en RDC. entre autres :Mutombo Dikembe, Meschack Elia, Mashako Muamba, Nodel Kayembe, Prof Bernand LUTUNDULA, Florent Ibenge,
Gode Kayembe, Cathérine Nzuzi wa Bombo, Wivine Nlandu, Faida Mwangilua, Annie Matundu, José Ngalula, les femmes de CAFCO, Eve Bazaiba, Belinda Lutandila, Olive Lembe et professeur Mashako Mamba

Par Solange Nyenyezi