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jeudi 6 février 2020

Vacances parlementaires : Solange Masumbuko Nyenyezi lance la septième édition de la casopec



En cette date du samedi 21 décembre, à l’hôtel Venus de la Gombe, de près de 400 micro-entrepreneurs autour de la députée Solange Masumbuko, élue de la circonscription de la lukunga, qu’accompagnait la ministre du travail et prévoyance sociale Nene nkulu.

En effet, cette cérémonie haute en couleur s’inscrivant dans le cadre des activités de vacances de parlementaires de l’honorable Solange Masumbuko Nyenyezi a connu 4 temps fort.

Témoignages et échanges d’expérience entre micro-entrepreneurs

Dans un premier temps, les femmes gérantes de petites unités de production ayant bénéficie d’un appuie financier dans le cadre du Projet PADSP- E/PROCER financé par la Banque Africaine de Développement ; de la Caisse de Solidarité Populaire d’Epargne et de Crédit (CASOPEC) et de VISION FUND ont échangé témoignages et expériences sur les bénéfices qu’elles ont tiré dudit financement.



Profitant de la présence de l’honorable Solange Masumbuko Nyenyezi et de la ministre Nene Nkulu, elles ont plaidé pour d’autres financements encore plus consistants non seulement à leur profit mais aussi et surtout à celui des femmes n’ayant pas encore bénéficié jusque là d’un quelconque soutien dans le cadre de l’un des projets.

La septième édition de la casopec profite à plus de 200 bénéficiaires

Solange Masumbuko qui s’est toujours intéressé de près à la question de l’autonomisation en accompagnant ces femmes bien avant d’être élue député s’est saisie  de l’occasion pour lancer la septième édition de la casopec dont la source de financement est essentiellement constitué de ses émoluments.



Ainsi, plus de deux cent personnes ont pu bénéficier sur place d’un don constitué d’un pagne et d’une enveloppe pour développer leurs activités génératrices de revenus ; voilà qui a constitué le deuxième temps fort de cette cérémonie

Par ailleurs, solange masumbuko a fait appel aux partenaires, en vue de leur accompagnement dans le processus de formalisation des centaines d’entrepreneurs de l’informel bénéficiaires de microcrédits remboursables sans intérêts.



Un appel entendu par la ministre du travail qui a promis de faire tout ce qui est à son pouvoir pour que cela se réalise.

Appel aux vendeurs de Matadi kibala à accepter la délocalisation dans la paix

L’élue de Lukunga sur un tout autre volet, pendant le troisième temps fort de cette activité, a invité les vendeurs du marché de Matadi Kibali a accepté la délocalisation dans la paix. Le nouveau marché en construction répondra, a-t-elle souligné dans son speech, aux besoins sécuritaires et environnementaux à la fois de vendeurs et clients. Etant donné que ladite délocalisation ne vise, avant tout, qu’à épargner vendeurs et acheteurs de risques d’accidents souvent déplorés à cet endroit de négoce créé au bord de la route nationale numéro 1.

Restitution du discours de la présidente de l’assemblée nationale



Enfin, ce qui devrait constituer le quatrième temps fort de cette manifestation, Solange Masumbuko, qui tient aussi à observer le mieux que possible le règlement d’Ordre Intérieur de l’Assemblée Nationale, a fait la restitution de son travail lors de la session de septembre qui se  veut budgétaire avant de restituer également les grandes lignes développées par la speaker de la chambre basse lors de l’ouverture de ladite session.

Et c’est par le  partage d’un repas, question d’anticiper les festivités de fin d’année que la  cérémonie s’est clôturée.

mercredi 29 janvier 2020

Point sur l'évolution des travaux de lutte contre l'érosion de Dumez



Sans l’intervention de l’entreprise Chinoise GREC 7, le site Dumez, situé au quartier Mama Mobutu, dans la commune de Mont-Ngafula, serait, à ce jour rayé de la carte de la ville de Kinshasa.


Les travaux pour venir complètement à bout de cette érosion, qui avait paralysé à son temps cette partie de la ville, peinent à se poursuivre normalement.
Deux causes majeures seraient à la base de cette situation nous confient les populations riveraines :


Primo, l’abondance des précipitations depuis le mois de décembre
Ceci occasionne le ralentissement des travaux et dans certains cas le risque de voir l’eau de la pluie détruire ce qui est déjà fait hante les esprits de plus d’un.


Une autre raison et non la moindre est liée aux moyens mis à la disposition de l’entreprise GREC 7.
Avec une enveloppe encore un peu plus élevée que celle à sa disposition actuellement, l’entreprise chinoise aurait accéléré les travaux.


Quand à moi, je continue ma tournée dans ma circonscription électorale pour recueillir les doléances ça et là et au retour des vacances parlementaires en faire part à qui de droit.

mardi 28 janvier 2020

Quid de l’accès aux informations politiques à l’ère du numérique ?




En marge de la journée internationale du droit d’accès à l’information, nous avons pris part à la conférence-débat, organisée par l’université pédagogique nationale, UPN, en date du samedi 18 novembre 2019.

Si le thème de ladite conférence a été la problématique du droit d’accès à l’information, nous avions sous notre double casquette de  scientifique et femme politique, focalisé notre intervention  sur  « L’accès aux informations politiques à l’ère du numérique ».


En plein exposé sur: "L'accès aux informations politiques à l'ère du numérique

Une analyse fondée sur les trois piliers fondamentaux de la rhétorique d’Aristote que sont le pathos, l’ethos et le logos.


Au-delà de l'auditoire qui nous faisait face, nous avions rappelé à tout le monde qu'à l'ère de la manipulation de masse via les réseaux sociaux, chaque info se doit de passer au scan pour analyse.

Pour rappel, le Le pathos est associé à l’émotion, l’éthos  est particulièrement important pour susciter l’intérêt du public et enfin le logos le logos est le raisonnement logique derrière les déclarations du locuteur.
Concrètement, ai-je souligné, il nous faut entant que public pour chaque info reçue s’interroger sur la qualité de l’émetteur, le contenu de son message et aussi et surtout son objectif.

Comme opérateur politique, il importe de se poser les bonnes questions avant de passer une info.



























Les questions que peut se poser un opérateur politique sont:  pourquoi vais-je communiquer ? Qu’est-ce que je recherche dans le public; pour ma société ?
L’info, rappelons-le, doit avoir pour objectif de contribuer développement  d’un pays, à la consolidation de la paix dans un pays post-conflit comme le notre.


A côté du Professeur Munkeni, Recteur de l'IFASIC



























Bien entendu, plusieurs orateurs et non le moindre ont également intervenu lors de cette conférence.
Le ministre de la communication et des médias, Jolino Makelele, en a profité pour annoncer la tenue prochaine des états-généraux de la presse. Une occasion propice, à l’en croire, pour mettre sur la table des discutions des sujets aussi sensibles qu’importants à l’instar de dispositifs juridiques,  viabilité des médias,  rôle et missions de  la  presse, l’éthique et la déontologie journalistique, lutte contre la cybercriminalité …


Premier à gauche, le ministre de la communication Jolino MAKELELE


























Son objectif serait de redonner à la presse ses lettres de noblesse d’antant et nous, en notre qualité de députée nationale, avions pris l’engagement d’apporter notre modeste contribution au projet de loi sur le droit d’accès à l’information une fois qu’il sera présenté par le bureau de l’assemblée nationale aux honorables députés.

mardi 17 juillet 2018

Echange d'expérience sur le leadership féminin à l' Assemblée Nationale en Rdc

Sous le haut patronage de l'Honorable Président de l'Assemblée Nationale, il s' est tenue ce mois courant  au palais du peuple, la l'échange d'expérience sur le leadership féminin , qui s' est déroulée dans une atmosphère  de partage d'expériences entre les intervenants et les participants. 

De plus en plus,  les femmes prennent conscience de leurs potentiels et importance au sein de la société, d'où chacune dans son domaine ou champ de travail s' exerce pour la lutte contre les anti-valeurs  et maux qui handicapent l'épanouissement et l'émancipation des femmes.

Pour ce faire, les femmes de l'Assemblée Nationale ne sont pas restées en arrière-plan. Sous la coordination de la conseillère du Président de l'Assemblée Nationale en matière sociaux-culturelles, Madame Joséphine; cette matinée a connue l'intervention des différents acteurs sociaux qui ont fait part de leurs expériences professionnelles; il s' agit donc de l'honorable députée nationale Vicky Katumua, de la conseillère juridique aux lignes maritimes congolaises, Madame Viviane Ndaya, de l'experte en communication politique, Madame Solange Masumbuko Nyenyezi, du Président de l'Apromed, Monsieur Antoine Ntabala et du Docteur Bakuka Mbadu.
 Ils ont parlés consécutivement de:

- la femme étant que politique, et défis auxquelles elle fait face. Pour sa part Madame Vicky Katumua a relaté son parcours étant que femme politique, son cursus, et expérience professionnelle.

Enseignante de formation, elle a commencée son parcours professionnel étant qu'enseignante, et c'est son souci de la justice et de l'égalité qui l'ont conduit petit-à-petit jusqu'à la politique. Elle a donc encourager les femmes à faire des études supérieures et de ne pas renoncer.

- Madame Viviane Ndaya, a exploité l'aspect de l'importance du savoir, du goût et désir de l'apprentissage, de la lecture et l'instruction. Elle a donc encourager les femmes a être ambitieuse et à apprendre sur le domaine sur lequel elles veulent évoluer et à bannir la paresse.

- Quant à Madame Solange M.Nyenyezi, elle a exposé sur l'autonomisation des femmes. Enseignante et femme politique, elle a commencé son combat depuis l'université, où elle a été présidente des étudiants. Ayant un penchant pour l'apprentissage continuel, elle ne s' est pas arrêté là, et a donc cumulé des stages et formations au sorti de l'université, ce qui l'a conduit à la profession d'enseignante à l'université et à une carrière politique. Elle a donc fait comprendre aux femmes que l'autonomisation leur donne trois pouvoirs, notamment le choix, la décision, et l'accès aux revenus, ces derniers permettent donc de mieux appliquer les 3T, qui sont, le talent, le temps et le travail.

- Monsieur Antoine Ntabala, a parler sur l'importance du mariage civil.  Il a donc conscientiser les femmes, sur cette question et les a appelé à sécuriser leurs existences en privilégiant le mariage civil.

- et enfin, le Docteur Bakuka Mbadu a parlé du cancer du sein et du col de l'utérus.  De son exposé, nous pouvons retenir que ces types de cancer sont causés essentiellement par l'hérédité, l'existence de certaines substances contenues dans les aliments que nous mangeons, l'automédication, les pilules hormonales, les avortements, les accouchements multiples, etc.

Cependant, il existe des remèdes contre le cancer, notamment le dépistage, et le traitement. Plus tôt le cancer est diagnostiqué, plus vite et moins coûteux sera le traitement. Il a donc encourager les femmes a se dépister de temps en temps.

L’AFDC s’investie dans la formation des femmes potentielles candidatess échéances électorales en RDC


Pendant que les hommes tournent en rond au Congo Kinshasa. Passant l’éclair de leur temps à débattre soit sur l’accord de la saint sylvestre et ce qui en découle soit de la formation du gouvernement Tshibala, les femmes rd. Congolaises affutent de leur côté les armes pour les élections à venir.

En effet, plus d’une centaine d’entre elles venues de différents partis politiques tant de l’opposition que de la majorité ont suivie, à Kinshasa, une formation sur le coaching organisée durant le mois de janvier à mai 2017 par les agences de Nations-Unies, Pnud, onu femme et cafco avec la participation de la commission électorale nationale indépendante, ceni.
La formation, un moment d'échange et de partage

L’objectif assigné à ladite formation était celui de permettre à toutes ses femmes de s’impliquer dès à présent dans la préparation des élections afin qu'au moment opportun qu'elles soient du nombre des vainqueurs aux cotés des hommes.
Le moment était avant tout celui d'échange et de partage d'expériences entre femmes avant d'être celui de l'apprentissage.
Pour nous , cadre de l’alliance de forces démocratiques du Congo. Cet atelier était d'une importance capitale d'autant plus que cela nous a permis de se redécouvrir. Mieux, de redécouvrir nos qualités de femme leader. Dans un environnement où les enjeux conduisent à la formation de deux pôles diamétralement opposés ; cela nous a surtout appris a être conciliante. En outre. Les astuces pour planifier notre visibilité politique sont à présent à portée de nos mains
Fort de ses acquis, nous cadre de l'afdc, autant que toutes les lauréates, se dit désormais prêtes pour se lancer dans la course au pouvoir en transitant par les urnes étant donné que nous maîtrisons les stratégies susceptibles de faire remporter une élection.

Appel à la création d'un fonds pour soutenir les candidates


Au vue de la détermination affichée par les femmes dans leurs témoignages lors de la cérémonie de remise de brevets, le ministre de l'économie et autorité morale de l'afdc, qui prône la parité tant dans son parti qu'au gouvernement, a déclaré : « je vois vois toutes députés à l'issue des futures élections ». La phrase lui a valu une slave d'applaudissements de l'assistance constituée en majeure partie de femmes.
Et à Corneille Nangaa, président de la centrale électorale, d'aller plus loin en ajoutant : « Ce coaching aura réellement d'impact si cent femmes parvenaient à se faire élire comme députées à l'assemblée nationale ».
Pour y parvenir, la lutte sera longue, prévient-il. Il faudra commencer par mesurer ses forces, connaître son environnement électoral tout en appliquant sur le terrain les acquis du coaching. Le combat passe aussi par la revisitation du cadre légal a-t-il conclut.

Au delà de tous les conseils prodigués par le président de la CENI, la ministre du genre invite le Gouvernement à créer un fonds devant contribuer au financement de la campagne électorale de futures candidates. Ainsi, la bataille pour la conquête du pouvoir par la voie des urnes entre hommes et femmes se verra encore plus au moins équilibrée.
Quoiqu'il en soit, les femmes sont déterminées à remporter les futures élections pourvu qu'elles soient tout d'abord organisées. Et c'est dans le calme et la transparence.












Le Procer dans le programme du gouvernement Tshibala



Le programme du gouvernement Tshibala a été présenté et défendu, le mardi 16 mai 2017, devant les députés nationaux dans la salle de congrès du palais du peuple.
Ce programme comporte 4 chapitres à savoir : l'organisation des élections dans les délais convenus, la stabilisation et la relance de l'économie nationale, l'amélioration des conditions de vie de la population et la restauration de la sécurité des personnes et de leurs biens.

Il s'agit des axes prioritaires de la mission assignée au gouvernement d'union nationale.
Mission que ledit gouvernement est appelé à accomplir selon les termes de l'accord politique global et inclusif du 31 décembre 2016.

A propos de l'organisation des élections

En ce qui concerne l'organisation des élections générales, le nouveau locataire de la primature a fait savoir qu'il est important que des ressources internes et externes soient mobilisées ; qu'une provision trimestrielle au profit de la ceni soit constituée pour financer l'ensemble du processus électoral ; que soient explorées les voies et moyens de rationalisation du système électoral pour réduire les coûts des opérations électorales ; que l'impact technique et financière sur les élections du mode de scrutin actuel soit déterminé et que la faisabilité technique et la fiabilité du vote de la diaspora congolaise soient étudiées.

Encore des réformes attendues

Pour ce qui est de la stabilisation et de la relance de l'économie, Bruno Tshibala estime que le gouvernement est appelé à mener des actions pour rétablir les équilibres du cadre macro-économique et entreprendre la relance de la production nationale.
Pour ce, un programme urgent des réformes s'avère nécessaire et le gouvernement entend maintenir l'actuelle discipline budgétaire.

Tshibala entend appuyer les programmes tel le Procer

L'amélioration des conditions de vie de la population est un des axes prioritaires de l'action gouvernementale que Bruno Tshibala a eu à développer.
A propos, il compte soutenir l'autonomisation financière des femmes et des jeunes filles dans toutes les provinces ; encadrer les femmes et jeunes filles bénéficiaires d'expérience pilote en cours à l'instar du programme cadre de création d'emplois et de revenus, Procer. (le procer en trois lignes)

Le premier ministre compte également mettre en œuvre les travaux à haute intensité de main d'oeuvre, poursuivre le processus de rajeunissement de l'administration publique en étendant entre autre le programme “jeunes diplômés en cours d'expérimentation dans l'administration publique aux entreprises du portefeuille de l'Etat. Dans l'agenda du premier ministre figure aussi le renforcement du capital humain par l'amélioration de la qualité de l'éducation et des prestations de services de santé pour tous.

De l'amélioration des conditions de vie des militaires, policiers et agents de sécurité

Enfin, parlant de la restauration de la sécurité des personnes et de leurs biens ; le gouvernement va renforcer et améliorer la mise en condition des fardc, de la police nationale et des services de sécurité, a soutenu Bruno Tshibala. Il va aussi poursuivre les opérations militaires dans la partie Est du pays ainsi que la restauration, la réorganisation et l'équipement de l'armée nationale, sans oublier la sécurisation du processus électoral avant, pendant et après les opérations en collaboration bien entendu avec la CENI et la MONUSCO.
L'amélioration des conditions sociales des policiers et du personnel et des agents des services de sécurité fait aussi partie des actions à mener quant à ce.

Un programme ambitieux certes comme ceux de tous les prédécesseurs, reste à savoir si il sera effectivement mis en œuvre.

Mois de mars: plus de 1000 micro-entrepreneurs formés par l'ONG ADEAC








En marge des ces activités de routine , L’ONG ADEAC a organisé ce mois courant dans la salle polyvalente de Lestonac dans la commune de Selembao sa 5e session de formation en coaching, évaluation et accompagnement personnalisés des micro-entrepreneurs. Cette session avait pour objectif de stimuler et d’encourager les membres à l’esprit d’entreprise, de créativité, d’innovation et d’autonomisation.

Au total, plus de 500 membres ont été renforcés sur les techniques managériales et entrepreneuriales. A cette occasion, Mme Solange Nyenyezi la Représentante de l’Ong ADEAC a encouragé les différents membres de la commune urbano-rurale de Mont-Ngafula, à multiplier les efforts pour une autonomisation intégrale.

Profitant du thème de ce mois de la femme : « investir dans la force productrice de la femme rurale de la R.D.Congo », Mme Solange Nyenyezi estime qu’il est le temps de concrétiser ce thème sur le territoire national. A son niveau, Mme Solange à travers une Caisse de Solidarité Populaire de crédit et d’épargne (CASOPEC) soutient les initiatives des femmes micro-entrepreneures en leur octroyant des crédits remboursables sans intérêt. Cette session était tombé également à point nommé pour que ces femmes montrent à la face du monde à ce qu’elles savent faire.

Parmi les intervenants, Mme Caroline Lokemba, Psidente de la Nouvelle Chambre de commerce de la RDC, 

Mme Okemba a partagé avec les participants son expérience avec le maïs produit dans la province de Kongo-Central.

Au cours de cette année 2018, ADEAC compte multiplier ses sessions de formation à travers la ville en vue d’accroître le nombre de micro-entrepreneure.
Pour clore, Mme Solange n’a pas manqué de remercier tous les partenaires qui accompagnent ADEAC. A l’issu de cette formation, quelques femmes furent encourager par des cadeaux pour avoir exceller dans leurs petits commerces.



Solange Nyenyezi


jeudi 5 avril 2018

Les membres de l’AFDC à l’école des élections


Dans quelques mois, la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) a organisera les élections à tous les niveaux sur toute l’étendue de la République Démocratique du Congo. Les enjeux sont cruciaux et chaque regroupement et parti politique affrète déjà leurs armes. C’est le cas de l’Alliance des Forces Démocratiques du Congo (AFDC) qui a lancé une Ecole du Parti avec comme mission de renforcer les capacités de ses membres sur les élections. Pas plus tard que le samedi 24 mars 2018, la Fédération de la Lukunga a ténue une cérémonie et atelier avec les membres sur les sujets.

Le but de cette activité était de former et de mobiliser la base de Lukunga sur les questions électorales mais aussi sur les stratégies et techniques de campagne. Dans cet ordre d’idées, le camarade Guy Richard a parlé sur la fidélisation des membres et stratégies : capacité communicationnelle d’un leader à la base.

Après ce brillant exposé, le Camarade Georges BYERAGI s’appesantira sur le Leadership transformationnel. Juste après la pause-café, le Camarade Albert Oyasase et moi (Solange Masumbuko) avons expliqués aux membres concernant le processus électoral en cours et sur les stratégies et les défis à relever.


Profitant de ce mois dédié à la femme, la Camarade Rumb a saisi l’opportunité pour démontrer avec des exemples et textes juridiques que la femme peut aussi faire la politique et participer aux instances de décision de la RDC.
Pour renforcer les clous, l’Autorité Morale, le Camarade Modeste Bahati lukwebo a éclairé les membres sur la création du regroupement politique AFDC et Alliés et de son appartenance jusqu’alors à la Majorité Présidentielle. Dans la foulée, le N°1 de l’AFDC a exhorté les membres de rester dans l’expectative des élections et de se préparer à les remporter sur tous les niveaux.

Tarte sur la cerise, L’Autorité Morale et la Présidente fédérale de Lukunga, Immaculée Cibalonza ont remis quelques brevets symboliques à certains camarades qui ont participé à la formation des formateurs organisée à Fatima.

Solange Nyenyezi M.